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25 juin 2010

d'Espelette à Ascain

25 km

 

 

"Il n'y a pas de chemin, il faut marcher. C'est en marchant que se fait le chemin" ST JEAN DE LA CROIX (1542-1591)

 

Espelette : l'hôtel Euzkadi.

 

Au sommet du Suhalmendi

 

Je me suis bien reposé : je suis prêt à repartir... d'autant que le copieux petit déjeuner buffet m'a rassasié.

Grand ciel bleu et température élevée à 8h45 au départ.

 

Il faut suivre la RD 918 jusqu'au col de Pinodieta, et ensuite le GR® 8 direction ouest, par les collines et la ligne de crête avec de belles vues sur les vallées de chaque côtés. 

 

 

 

Ce matin aussi, nombreuses montées et descentes, plein soleil. Je passe par le pont d'Amotz, et une  nouvelle grimpette pour faire un détour par le Suhalmendi, sommet arrondi avec de nombreux chevaux et poulains en liberté.

Première vue sur l'Atlantique au loin, et St Jean de Luz...

A ma gauche, la montagne de Larrun ou la Rhune. 

 

 

La piste continue : enfin une étape agréable en grande partie hors bitume ; les chemins serpentent parmi les fougères, et les chênes.  

 

Par une grande descente j'arrive à Arraioa, et Ascain. Il est 13h45.

 

en chemin

 

Ici aussi, comme à Espelette, il n'y a pas d'hébergement spécifique pèlerin, ni de gîte d'étape : l'hôtel est mon seul recours. J'ai fait mon itinéraire moi même depuis le départ sans suivre le parcours commun de la foule... 

Le but étant, mon chemin, les prières et le recueillement : cela ne peut se faire que seul.

Peu importe le chemin, l'objectif est Santiago de Compostela. 

 

 

Retable et autel de l'église d'Ascain.

 

 

 

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